mardi 23 décembre 2008

Healthy People, Healthy Performance, Healthy Profits: The Case for Business Action on the Socio-Economic Determinants of Health

Healthy People, Healthy Performance, Healthy Profits: The Case for Business Action on the Socio-Economic Determinants of Health
Report by Daniel Munro
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December 2008, Source: The Conference Board of Canada, 64 pages

Business has an important role to play in addressing the socio-economic determinants of health. This report provides practical guidance and principles of success to businesses that may take action.

Document Highlights:

Business, along with the public and non-profit sectors, has an important role to play in addressing the socio-economic determinants of health. These determinants—income, employment and working conditions, education and literacy, housing, food security, etc.—have a greater impact on health outcomes than do genetics, individual choices, and the health-care delivery system.

The Healthy People, Healthy Performance, Healthy Profits report makes the case that employers and businesses should take action on the socio-economic determinants of health because of the benefits such action will have for the health of Canadians and the positive impact it will have on the organization’s performance and profits. In addition to offering examples of successful initiatives already taken by Canadian and international firms, the report provides practical guidance and principles of success to businesses that may take action.

The report is part of the research agenda of The Conference Board of Canada’s Roundtable on Socio-Economic Determinants of Health.

Tolerance.ca® - Canada. Les repas pris au restaurant contribuent à l'obésité

Les repas pris au restaurant attirent de plus en plus l'attention comme facteur possible de l'augmentation de la prévalence de l'obésité. Des recherches ont montré que les personnes qui mangent souvent au restaurant ont tendance à consommer davantage de calories que celles qui mangent généralement des repas préparés à la maison. La fréquence plus grande des repas pris à l'extérieur chez les hommes ayant un revenu élevé peut être liée au risque relativement élevé qu'ils fassent de l'embonpoint.

Plus leur revenu est élevé, plus les hommes canadiens sont susceptibles d'avoir de l'embonpoint. Dans une certaine mesure, la prévalence plus grande de l'embonpoint chez les hommes plus riches est liée à leur plus grande probabilité de prendre des repas non préparés à la maison.




Même si les recherches ont montré que les personnes des groupes de revenu élevé sont généralement en meilleure santé que celles des groupes de revenu plus faible, cela est moins vrai dans le cas de l'embonpoint chez les hommes.

De nouveaux résultats laissent supposer que les différences dans les habitudes alimentaires peuvent être liées à l'embonpoint chez les hommes plus riches.

Depuis le début des années 1980, l'augmentation la plus forte de la prévalence de l'obésité a été observée chez les hommes des groupes de revenu élevé. En 2004, la cote exprimant le risque d'embonpoint était environ deux fois plus élevée pour les hommes riches que pour les hommes du groupe de revenu le plus faible.

Les hommes des groupes à revenu du ménage élevé étaient significativement plus susceptibles que ceux des groupes à revenu plus faible de déclarer prendre des repas non préparés à la maison.

Ces tendances ne s'observent pas chez les femmes. Même si les femmes des ménages ayant un revenu élevé étaient plus susceptibles que celles des ménages ayant un revenu plus faible de prendre des repas non préparés à la maison, elles n'étaient ni plus ni moins susceptibles d'avoir de l'embonpoint.

Source : Statistiques Canada, 17 déc. 2008