L’approche intergénérationnelle dans la santé par Laëtitia Mariage-Gaudron | Generation Y 2.0
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vendredi 11 septembre 2009
lundi 23 février 2009
Le régime méditerranéen booste l’intellect, Fondamental - NouvelObs.com
Des études antérieures ont déjà fait état d’un plus faible risque de développer la maladie d'Alzheimer chez les personnes qui suivent un régime méditerranéen. Des scientifiques du Centre médical de l’université Columbia, New-York, Etats-Unis, ont évalué plus précisément l’impact cette diète sur l’intellect de 1393 personnes sans problèmes cognitifs ainsi que sur 482 patients atteints de déficience mentale légère. Leurs résultats sont publiés dans l’édition de février des Archives of Neurology."
(lire cet article du Nouvel Observateur)
(lire cet article du Nouvel Observateur)
Le cannabis un danger pour les testicules, Fondamental - NouvelObs.com
Une nouvelle étude publiée en ligne sur le site de la revue Cancer révèle que le risque de développer la forma la plus agressive du cancer des testicules serait augmenté de 70% chez les consommateurs réguliers de haschisch et d’au moins 50% chez ceux qui en usent au moins une fois par semaine où qui ont commencé à fumer dès l’adolescence."
(lire cet article du Nouvel Observateur)
(lire cet article du Nouvel Observateur)
Medpedia, une plateforme sociale dédiée au monde médical
Un nouveau site collaboratif dédié au monde médical vient d'être lancé. Son nom : Medpedia.
Ce projet a l'ambition de combiner, à partir d'une seule et même plateforme, différentes applications du Web 2.0. C'est ainsi que Medpedia compte s'adresser à la fois aux entreprises, au corps médical ainsi qu'au grand public.
Comme le précise le magazine Techcrunch, Medpedia est une initiative 'combinant le concept de réseau social moderne avec de l’information santé. Un Wikipedia sur la santé, un LinkedIn pour les professionnels du domaine et un Facebook pour consommateurs et experts; prêts au dialogue sur les maladies et traitements'.
L'on se souvient de la fameuse phrase de Reid Hoffman, fondateur du réseau social professionnel LinkedIn. 'MySpace, c'est le bar, Facebook, c'est la maison, et LinkedIn, c'est le bureau'. Eh bien, Medpedia se donne pour objectif de fédérer différents publics et différentes applications afin de proposer un réseau social le plus complet possible autour des problématiques de la santé.
( pour lire cet article rendez-vous sur Les Infostratèges Sarl )
Ce projet a l'ambition de combiner, à partir d'une seule et même plateforme, différentes applications du Web 2.0. C'est ainsi que Medpedia compte s'adresser à la fois aux entreprises, au corps médical ainsi qu'au grand public.
Comme le précise le magazine Techcrunch, Medpedia est une initiative 'combinant le concept de réseau social moderne avec de l’information santé. Un Wikipedia sur la santé, un LinkedIn pour les professionnels du domaine et un Facebook pour consommateurs et experts; prêts au dialogue sur les maladies et traitements'.
L'on se souvient de la fameuse phrase de Reid Hoffman, fondateur du réseau social professionnel LinkedIn. 'MySpace, c'est le bar, Facebook, c'est la maison, et LinkedIn, c'est le bureau'. Eh bien, Medpedia se donne pour objectif de fédérer différents publics et différentes applications afin de proposer un réseau social le plus complet possible autour des problématiques de la santé.
( pour lire cet article rendez-vous sur Les Infostratèges Sarl )
jeudi 19 février 2009
Le café diminue le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) chez les femmes
PsychoMédia - Publié le 18 février 2009
La consommation régulière de café diminue le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) chez les femmes selon une étude publiée dans la revue Circulation: Journal of the American Heart Association. Cet effet positif n'est toutefois pas présent chez les femmes qui fument.
(lire la suite)
La consommation régulière de café diminue le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC) chez les femmes selon une étude publiée dans la revue Circulation: Journal of the American Heart Association. Cet effet positif n'est toutefois pas présent chez les femmes qui fument.
(lire la suite)
Libellés :
AVC,
café,
femmes,
Journal of the American Heart Association
mercredi 11 février 2009
Le régime méditerranéen protège de la déficience cognitive et de l'Alzheimer
PsychoMédia - Publié le 11 février 2009
Le régime méditerranéen contribuerait à réduire le risque de déficience cognitive légère et de maladie d'Alzheimer chez les personnes âgées, confirme une nouvelle étude publiée dans les Archives of Neurology. La déficience cognitive légère (ou déficit cognitif léger) est un état intermédiaire entre le déclin cognitif normal dû au vieillissement et la maladie d'Alzheimer.
Des études antérieures ont déjà montré un plus faible risque de développer la maladie d'Alzheimer, la forme la plus fréquente de démence, chez les personnes qui suivent un régime méditerranéen.
Le régime méditerranéen est caractérisé par une consommation abondante de légumes, de fruits, de céréales et de poissons, par une consommation plus modérée d'huile d'olive, de produits laitiers et de viande ainsi qu'une consommation modérée d'alcool.
Durant les 4 1/2 ans qu'a duré cette étude, le tiers des personnes en santé qui adhérait le mieux au régime méditerranéen avait 28% moins de risque de développer une déficience cognitive légère que le tiers qui adhérait le moins à ce régime. Et les personnes qui avaient déjà une déficience cognitive légère qui suivaient le mieux le régime avaient 48% moins de risque de développer la maladie d'Alzheimer.
Le risque réduit est possiblement attribuable à l'amélioration des taux de cholestérol et de glycémie, la réduction de la résistance à l'insuline et de l'inflammation qui ont été associés au régime méditerranéen, considèrent les chercheurs.
Psychomédia avec source:
Medical News Today
Le régime méditerranéen contribuerait à réduire le risque de déficience cognitive légère et de maladie d'Alzheimer chez les personnes âgées, confirme une nouvelle étude publiée dans les Archives of Neurology. La déficience cognitive légère (ou déficit cognitif léger) est un état intermédiaire entre le déclin cognitif normal dû au vieillissement et la maladie d'Alzheimer.
Des études antérieures ont déjà montré un plus faible risque de développer la maladie d'Alzheimer, la forme la plus fréquente de démence, chez les personnes qui suivent un régime méditerranéen.
Le régime méditerranéen est caractérisé par une consommation abondante de légumes, de fruits, de céréales et de poissons, par une consommation plus modérée d'huile d'olive, de produits laitiers et de viande ainsi qu'une consommation modérée d'alcool.
Durant les 4 1/2 ans qu'a duré cette étude, le tiers des personnes en santé qui adhérait le mieux au régime méditerranéen avait 28% moins de risque de développer une déficience cognitive légère que le tiers qui adhérait le moins à ce régime. Et les personnes qui avaient déjà une déficience cognitive légère qui suivaient le mieux le régime avaient 48% moins de risque de développer la maladie d'Alzheimer.
Le risque réduit est possiblement attribuable à l'amélioration des taux de cholestérol et de glycémie, la réduction de la résistance à l'insuline et de l'inflammation qui ont été associés au régime méditerranéen, considèrent les chercheurs.
Psychomédia avec source:
Medical News Today
mardi 10 février 2009
CMQ - Effectifs médicaux : statistiques encourageantes
10 février 2009
Le Collège des médecins du Québec vient de compiler les statistiques du tableau des membres au 31 décembre 2008. Ainsi, 576 nouveaux médecins se sont inscrits au Collège en 2008, le plus grand nombre au cours des dernières années. Lorsqu’on déduit le nombre de médecins décédés ou qui ont démissionné du tableau de l’ordre, on obtient un ajout net de 260 médecins, une des meilleures augmentations depuis 1997. L’accroissement du nombre de places en médecine décrété il y a quelques années par le gouvernement commence à porter fruit.
Des 19 614 médecins inscrits au tableau de l’ordre, 1 836 (9,4 %) sont des médecins retraités et 316 (1,6 %) ont démissionné ou sont décédés. Il reste donc 17 462 médecins en exercice actifs à temps complet ou partiel. La proportion entre les médecins de famille et les médecins spécialistes varie peu avec les années (9 632 médecins de famille = 49,1 % et 9 982 spécialistes = 50,9 %). Quatre-vingt-huit pour cent (N = 17 397) des médecins inscrits au tableau au 31 décembre 2008 ont obtenu leur diplôme au Canada, 0,5 % aux États-Unis (N = 105) et 10,8 % dans d’autres pays, soit 2 112 médecins originaires de 75 pays différents.
En ce qui a trait à l’âge moyen des médecins, il ne cesse d’augmenter. Il est de 52,3 ans, soit 50,6 chez les médecins de famille et 53,9 chez les spécialistes. Plus de la moitié des médecins québécois (53,8 %) ont 50 ans et plus, une augmentation de près de 2 % depuis l’an dernier et il y a davantage de médecins âgés chez les spécialistes. Actuellement, l’âge moyen des membres de 26 associations de spécialistes dépasse 50 ans. Quant à la féminisation de la profession, les femmes médecins constituent près de 40 % de l’effectif médical (37,9 %); ce nombre va continuer d’augmenter au cours des prochaines années puisque, en 2008, parmi les étudiants des quatre facultés de médecine, 64 % sont des femmes et 36 % des hommes.
Montréal compte 6 679 médecins (2 522 médecins de famille et 4 157 spécialistes) et Québec, 2 489 médecins (1 125 médecins de famille et 1 364 spécialistes); pour l’ensemble des régions, l’effectif est de 9 489 médecins (soit 5 610 médecins de famille et 3 879 spécialistes). Enfin, 957 médecins sont inscrits au tableau du Collège, mais pratiquent ailleurs au Canada ou aux États-Unis (375 médecins de famille et 582 spécialistes).
De ces données ressortent les constatations suivantes :
* Au cours de la dernière année, il y a eu 166 médecins de moins qui ont pris leur retraite comparativement à 2007.
* Grâce à un nouveau règlement du Collège, 162 médecins ont pu convertir leur permis restrictif en permis régulier, ce qui leur donne le droit de pratiquer tant en cabinet qu'en établissement, facilitant ainsi l’accessibilité aux soins.
* L’âge moyen des médecins devrait diminuer dans les prochaines années avec l’arrivée massive de jeunes médecins.
* Au cours de la dernière année, Montréal et Québec ont peu augmenté leurs effectifs, alors que plus de 200 nouveaux médecins se sont installés en région, soit 87 médecins de famille et 159 spécialistes.
* Enfin, pour la première fois depuis 1996, le nombre de médecins pratiquant en dehors de la province est passé sous la barre de 1 000, une diminution de 72 par rapport à l’an dernier.
En conclusion, la diminution du nombre de médecins qui ont pris leur retraite, l’élargissement du permis pour les médecins diplômés à l’étranger, l’augmentation du nombre de médecins en région et la diminution du nombre de médecins qui vont pratiquer à l’étranger sont des nouvelles qui permettent d’entrevoir un avenir meilleur. Espérons que ces tendances continueront dans les années à venir.
Yves Lamontagne, M.D.
Président-directeur général
Collège des médecins du Québec
Le Collège des médecins du Québec vient de compiler les statistiques du tableau des membres au 31 décembre 2008. Ainsi, 576 nouveaux médecins se sont inscrits au Collège en 2008, le plus grand nombre au cours des dernières années. Lorsqu’on déduit le nombre de médecins décédés ou qui ont démissionné du tableau de l’ordre, on obtient un ajout net de 260 médecins, une des meilleures augmentations depuis 1997. L’accroissement du nombre de places en médecine décrété il y a quelques années par le gouvernement commence à porter fruit.
Des 19 614 médecins inscrits au tableau de l’ordre, 1 836 (9,4 %) sont des médecins retraités et 316 (1,6 %) ont démissionné ou sont décédés. Il reste donc 17 462 médecins en exercice actifs à temps complet ou partiel. La proportion entre les médecins de famille et les médecins spécialistes varie peu avec les années (9 632 médecins de famille = 49,1 % et 9 982 spécialistes = 50,9 %). Quatre-vingt-huit pour cent (N = 17 397) des médecins inscrits au tableau au 31 décembre 2008 ont obtenu leur diplôme au Canada, 0,5 % aux États-Unis (N = 105) et 10,8 % dans d’autres pays, soit 2 112 médecins originaires de 75 pays différents.
En ce qui a trait à l’âge moyen des médecins, il ne cesse d’augmenter. Il est de 52,3 ans, soit 50,6 chez les médecins de famille et 53,9 chez les spécialistes. Plus de la moitié des médecins québécois (53,8 %) ont 50 ans et plus, une augmentation de près de 2 % depuis l’an dernier et il y a davantage de médecins âgés chez les spécialistes. Actuellement, l’âge moyen des membres de 26 associations de spécialistes dépasse 50 ans. Quant à la féminisation de la profession, les femmes médecins constituent près de 40 % de l’effectif médical (37,9 %); ce nombre va continuer d’augmenter au cours des prochaines années puisque, en 2008, parmi les étudiants des quatre facultés de médecine, 64 % sont des femmes et 36 % des hommes.
Montréal compte 6 679 médecins (2 522 médecins de famille et 4 157 spécialistes) et Québec, 2 489 médecins (1 125 médecins de famille et 1 364 spécialistes); pour l’ensemble des régions, l’effectif est de 9 489 médecins (soit 5 610 médecins de famille et 3 879 spécialistes). Enfin, 957 médecins sont inscrits au tableau du Collège, mais pratiquent ailleurs au Canada ou aux États-Unis (375 médecins de famille et 582 spécialistes).
De ces données ressortent les constatations suivantes :
* Au cours de la dernière année, il y a eu 166 médecins de moins qui ont pris leur retraite comparativement à 2007.
* Grâce à un nouveau règlement du Collège, 162 médecins ont pu convertir leur permis restrictif en permis régulier, ce qui leur donne le droit de pratiquer tant en cabinet qu'en établissement, facilitant ainsi l’accessibilité aux soins.
* L’âge moyen des médecins devrait diminuer dans les prochaines années avec l’arrivée massive de jeunes médecins.
* Au cours de la dernière année, Montréal et Québec ont peu augmenté leurs effectifs, alors que plus de 200 nouveaux médecins se sont installés en région, soit 87 médecins de famille et 159 spécialistes.
* Enfin, pour la première fois depuis 1996, le nombre de médecins pratiquant en dehors de la province est passé sous la barre de 1 000, une diminution de 72 par rapport à l’an dernier.
En conclusion, la diminution du nombre de médecins qui ont pris leur retraite, l’élargissement du permis pour les médecins diplômés à l’étranger, l’augmentation du nombre de médecins en région et la diminution du nombre de médecins qui vont pratiquer à l’étranger sont des nouvelles qui permettent d’entrevoir un avenir meilleur. Espérons que ces tendances continueront dans les années à venir.
Yves Lamontagne, M.D.
Président-directeur général
Collège des médecins du Québec
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